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TEMOIGNAGE
» J’avais arrêté de demander de l’aide. Je ne parlais plus au médecin, au psy, ni même au dentiste ou au pharmacien tellement habituée à être jugée et incomprise. La pair-aidance m’a donné un endroit de parole libre dans lequel je me suis sentie en sécurité »
POUR QUOI?
Pour dire ce qu’on arrive pas à dire ailleurs, pour faire un pas de côté, essayer de décoder et mieux comprendre ce qu’on vit, pour trouver des astuces pour le quotidien, pour les relations, pour le travail. Des choses qui nous permettent à la fois de mieux nous respecter, moins forcer, moins masquer, tout en étant mieux compris et respecté par son entourage.
QUOI DONC?
Que ce soit via la pair-aidance familiale ou le coaching de vie rationnel, le but est de vous apporter des éléments de compréhension et des outils pour favoriser votre mieux être, en fonction de ce que vous traversez et de votre demande.
LA PROPOSITION
– Séance d’une heure, individuel ou couple
– Avant la première séance, j’apprécie que vous m’envoyiez un mail de présentation pour mieux me préparer au contexte
– Lors de la séance en présentiel ou visio le format est libre. Vous pouvez parlez en premier ou non.
– En cas de visio la caméra est nécessaire pour l’introduction, puis vous pouvez la couper.
– Pas d’engagement, vous faites la ou les séances dont vous avez besoin
– Avant ou après chaque séance vous êtes libre de m’envoyer un mail pour exprimer votre vécu ou poser vos questions
LA VALEUR
65€ TTC ( 21% de tva espagnole incluse ) par séance.
AUTRES LIEUX
Centre Imind, Lyon mais nombreuses ressources et webinaires en ligne
Strasand, autre centre d’excellence TND, nombreuses ressources en ligne
GNCRA formations, kit de com’autisme, annuaires, parcours de diagnostic
La maison de l’autisme fiches pratiques, annuaires, etc
EN SAVOIR PLUS
Le proche aidant, c’est une personne recours qui apporte son soutien à la personne en situation de handicap, de maladie, de difficulté. Ce n’est pas toujours un choix. Et souvent ça se pratique seul.
Le pair-aidant familial quant à lui utilise son savoir expérientiel et ses connaissances afin d’accompagner l’entourage d’une personne vivant avec des troubles psychologiques. Le pair-aidant familial, tout comme le pair-aidant, a suivi une formation, en général universitaire.
A la différence du proche aidant c’est un choix personnel, quel que soit le mode dans lequel il exerce.
Cet accompagnement se fait dans le processus de rétablissement.
Au choix du client, il se fait en lien- ou non, avec l’équipe soignante du proche aidé.
Souvent la famille ressent un fort sentiment d’impuissance, voire se sent exclus des soins ou du rétablissement du proche.
La personne concernée, elle, se sent coupable de faire » souffrir autant » la famille.
L’état de santé mentale du proche affecte affecte l’état de la famille.
Pourtant la famille, quand elle est là et avec des dispositions, est une précieuse ressource et un appui puissant pour le proche. Mais elle peut être mise à mal par le système.
En l’écoutant, en la faisant participer, elle retrouve ses capacités par l’aide aux aidants.
Dans le contexte de l’autisme, on rencontre encore parfois ces mythes de la « faute à la mère » qui conduisent à une mise à distance, arguant de la famille qu’elle serait « schizophrénogène ».
Ou simplement des professionnels ou institutions en désaccord avec l’implication de la famille. On peut le remarquer par des questions orientées sur l’éducations données, le type de lien affectifs construits, et qui éludent les informations que voudraient apporter la famille.
D’autre part de nombreux psychiatres et équipes de soins constatent que mettre en place, le plus tôt possible et de façon systématique, l’aide aux aidants, y compris avec l’intégration d’un pair-aidant familiale professionnel ( également appelé médiateur pair en santé ou pair praticien familial), soutiennent la famille, qui devient véritablement aidante sans se détruire, et parvient à mobiliser ses propres ressources de résilience.
Les aidants, les proches, reprennent le fil de leur fil et sont à nouveau des supports fiables pour leurs proches.
Ils trouvent un réseau, tissent du lien, parlent avec des personnes comprenant ce qu’ils vivent.
On parle alors « d’empowerment » des familles. Ne pus subir, mais agir!
Se remettre dans une position d’action.
Ce qui est difficile quand on est seul, qu’on a l’impression de ne jamais voir le but du tunnel et ne pas être entendu, compris.